La Ciotat Coeur de Parc

Les associations membres

40 partenaires ou associations ont rejoint notre  collectif. Et la vôtre ?

S'engager pour construire un édifice tel qu'un Parc National est un projet positif qui concerne toutes les associations ciotadennes quel que soit leur spécialité : de l'association d'usager à l'association tournée vers le théatre et des défenseurs de la langue espéranto à ceux des enfants, en passant par les boulomanes, notre collectif est l'expression d'une diversité qui ne demande qu'à s'enrichir avec votre association. Sont déja membres, par ordre alphabétique :

A.I.L (Amis de l'Instruction Laïque) La Ciotat

Amitié Nature

 

APRA

Art et Essai

 

 

Atelier Bleu CPIE côte provençale

 

 

Aventures Soubeyranes

 

 

Cercle des boulomanes ciotadens

 

CIQ du Vallat

CIQ de Sainte Marguerite

 

 

 

 

Comité 13 de la FFRP

 

 

Comité 13 de la FFME

CRI-Mémoire

 

 

CRI-Nature

 

 

Carène

 

 

Esperanto La Ciotat

 

 

Fair Wings tourisme responsable

 

 

FCPE La Ciotat

 

 

Fondation Espace Enfants

GAS Surf Club

 

 

Horizons d'elles

 

Les jardins de l'espérance

 

La maison des falaises

 

La maison pour tous Léo Lagrange

 

 

Mer et Vent

 

Mountain Wilderness France

 

Moussu T e lei jovents

 

 

Mouvement de la paix

 

Ombre des Lumières

Plongée Passion

 

 

Poney club des 4 chênes

 

 

Poney club des garrigues

Réseau JEM (des Jeunes Ecologistes de la Méditerranée)

 

 

Spéléo club La Salamandre

 

 

Théatre La Boulangerie

 

 

Tir à l'arc ciotaden

 

 

Toi, l'enfant innocent

Tout Visuel

 

 

UDVN13

 

Les Verts du Golfe de La Ciotat (en tant qu'association de protection de la nature agrémentée par le ministère de l'écologie)

 

Nous rejoindre

C'est aussi à vous de jouer ...

Penser que le Parc National serait une bonne solution pour le site classé, c'est déjà rejoindre notre collectif.

La participation est gratuite, notre collectif est apolitique et non confessionnel, il regroupe toutes les bonnes volontés qui souhaitent le meilleur pour les générations futures ... et pour les ciotadens actuels.

Une association devient membre de notre collectif, simplement en se déclarant en accord avec le texte de la pétition.

Plus nombreux nous serons et plus vite nous aurons des chances d'aboutir.

Pour nous rejoindre, il suffit d'en faire la demande :

• par courriel :  [email protected]
• par téléphone : 06 87 53 02 14
• par courrier : Collectif "La Ciotat Coeur de Parc", Bello Bauco, 694 chemin de la Civade Verde 13600 La Ciotat

Vous serez tenus au courant de nos réunions et pourrez participer à la dynamique pour le Parc National des Calanques,  de Marseille ... à l'Ile Verte !

La Ciotat Coeur de Parc au festival "Sciences Frontières"

Le site classé ciotaden mis au coeur du débat !

Une délégation du collectif "La Ciotat Coeur de Parc" a participé activement au festival "Sciences Frontières" au Pharo du 15 au 18 février 2007. Lien : http://www.sciencefrontieres.com/pdf/preprog_2007.pdf

Nous sommes intervenus lors du débat "Méditerranée 2020 : le nouvel Eden" en posant deux questions aux intervenants.

Nous avons demandé à Madame France GAMERRE, adjointe au maire de Marseille pour les affaires maritimes et présidente de Génération Ecologie quel était la position précise du Maire de Marseille quant au projet de Parc National des Calanques.

Nous avons eu la surprise d'entendre que selon elle, il y a "tellement de priorités en la matière ...". Le sous entendu était que le Parc National n'en faisait pas forcément partie.

La Ciotat Coeur de Parc défend avec les associations marseillaises  le calendrier de livraison du Parc National pour la fin de l'année 2008 (Ciotat incluse!) puisque tout est techniquement en place pour cela.

Madame GAMERRE a aussi indiqué que le problème était le coût de ce parc.

Nous pouvons pourtant remarquer que le budget du ministère de l'écologie (chargé des parcs nationaux) n'est que de 0,4 % du budget national et dans ces 0,4%, la part allouée aux Parc Nationaux est faible... Nous ne pensons pas que le coût d'un Parc National dans les Calanques serait démesuré, loin de là ! Il est temps dans notre pays de doter les sites exceptionnles de moyens réels pour les préserver. Préserver les Calanques aux portes d'une agglomération de plus d'un million d'habitants a nécessairement un coût et ... la bonne nouvelle c'est qu'il n'est pas si élevé que ca !

La Ciotat Coeur de Parc a aussi posé à Nardo VICENTE, professeur en biologie marine et responsable de la Fondation océanographique Ricard, la question suivante : que pensez vous de l'intégration du site classé ciotaden (parties terrestres et marines) au projet de Parc National des Calanques ?

Nardo VICENTE s'est livré à un véritable plaidoyer pour notre projet, reconnaissant son grand intérêt pour le site et son avenir tout en se montrant intarissable sur la cohérence géographique et écologique du site, de Marseille, jusqu'à l'Ile Verte !

Comment imaginer que le site (ciotaden) où fut découvert il y a quelques années le premier spécimen d'éponge carnivore jamais décrit sur notre planète soit exclu du futur Parc National a-t-il conclu ? Lien pour les curieux : http://amadou.sme.free.fr/eponcarn.htm

Notre délégation était aussi présente les autres jours du festival, nous avons pu y retrouver avec plaisir certains partenaires de notre conférence des 16 et 17 mars prochains à La Ciotat.

Deux autres temps forts de ce festival :

- la conférence sur l'incinérateur de Marseille dans un contexte où la Mairie de Marseille a signé le pacte écologique de Nicolas HULOT (présent la veille) mais poursuit son projet d'installation de l'incinérateur à Fos.

- la conférence d'ouverture (en présence de Nicolas HULOT, du député européen Vert Jean Luc BENHAMIAS, de Daniel RICHARD, directeur du WWF France, de Jean Maris  PELT ...) a permis de prendre du recul sur l'Etat de la planète et les projets à mettre en place pour apporter des solutions aux problèmes qui s'ammoncellent.

Comme la Fondation Nicolas HULOT, comme le WWF, comme la plupart des intervenants présents, nous sommes persuadés qu'une extension de 2000 hectares terrestres et de plusieurs milliers d'hectares marins pour le projet de Parc National des Calanques serait justement une belle contribution locale pour améliorer l'état dans lequel nous laisserons la nature à nos enfants.

Nous sommes 60 millions d'habitants en France en 2007, certaines projections démographiques  tablent sur 70 millions d'habitants en 2050 : la pression sur les sites naturels va s'accentuer, nous entrons dans une nouvelle phase où il est important de les doter de moyens de gestion réels, d'équipes permanentes et compétentes, pour leur assurer un avenir acceptable. Le Parc National, c'est cette solution.

Aidez nous à le faire savoir, participez à notre conférence publique des 16 et 17 mars 2007 à La Ciotat :

Rendez-vous dès le vendredi 16 mars à 18h30 à la salle Marceau à La Ciotat pour en discuter avec des intervenants qualifiés et pour montrer votre appui au projet.

 

Le GIP et la grimpe ...

DU BON SENS ET DE LA BONNE VOLONTE ...

Le GIP Calanques travaille en collaboration avec le Comité Départemental FFME* des Bouches du Rhône, instance regroupant toutes les associations de Grimpeurs du département.

Avant les premières réunions concernant La Ciotat et parceque ce que fait déjà le GIP préfigure ce que fera le Parc National, l'association "Aventures Soubeyranes" transmet un document de 2005 permettant de mieux saisir quel travail commun peut-être réalisé entre le GIP et nos associations ("La Ciotat coeur de Parc" compte une bonne demi-douzaine d'associations touchant de près ou de loin à l'escalade...) :

GIP Calanques et FFME.pdf (cliquez dessus pour télécharger)

* FFME= Fédération Française de la Montagne et de L'Escalade.

Des usines à poisson !

Six fois plus de poisson, 20 ans de recul ...

Parcequ'un Parc National est compatible avec la pêche ... et parceque la pêche est compatible avec la conservation des ressources marines naturelles :

Lorsqu'une synergie et une recherche commune se met en place entre les pêcheurs et les scientifiques, il est possible d'obtenir grâce aux moyens techniques et scientifiques d'un Parc National, ce que l'on appelle "l'effet réserve", conséquence d'une bonne gestion qui prouve que des solutions sages et concertées permettent d'obtenir une meileure production naturelle de poisson pour la pêche que dans les secteurs non gérés et non protégés.

C'est qui se passe à Port-Cros que certains qualifient désormais d'"usine à poisson" : le Parc a mis en place avec les pêcheurs, des mesures de gestion acceptées les professionnels de la pêche : elles ont permis aux pêcheurs du Parc National d'améliorer considérablement leurs conditions de travail puisque les prises sont plus faciles avec des pièces de poisson plus grosses et plus nombreuses.

Cet "effet réserve" incontestable se retrouve aussi dans le Parc marin Corso-Sarde des Bouches de Bonifacio. Lorsque les usagers s'accordent pour mettre en place des petites zones où certaines activités sont réglementées ou interdites (nous parlons bien de petites parcelles et pas de la totalité des sites), les ressources en poisson sont de loin supérieures dans les aires marines protégées et ceci profite à la totalité des usagers qui ont su prendre des mesures de préservation : davantage de ressources sont disponible pour tous. Jusqu'à 6 fois plus !

Voici l'une des études (cliquez sur l'image pour la lire) qui prouve l'attrait d'une règlementation de protection en vigueur depuis 20 ans. Bien remarquer que sur 5 secteurs, seul le secteur 4 est protégé (et il ne l'est que partiellement) et c'est sur ce dernier que porte l'interdiction de la chasse sous-marine, cette dernière étant autorisée dans la majorité des secteurs 1,2,3,5.

Est-ce vraiment surhumain à La Ciotat de se mettre d'accord comme certains le font en Corse autour de l'objectif d'amélioration de la quantité de poisson ? Bien sûr, chacun devra s'adapter à la situation locale et La Ciotat n'est ni Port-cros, ni les Lavezzi. Mais qui a dit que le GIP Calanques et le futur Parc allaient bêtement calquer les solutions de l'extérieur sans tenir compte du contexte local ?

Conformément à la nouvelle loi de 2006 sur les parcs nationaux et les aires marines protégées, c'est dans la concertation que le GIP travaillera avec les pêcheurs.

Améliorer la situation, c'est bien de cela qu'il s'agit et ... ça profitera à tout le monde : il n'est nullement question avec le Parc National d'interdire la pêche de façon autoritaire comme certains le caricaturent. Et encore moins avec un Parc National des calanques aux portes de 3 villes (Marseille, cassis, La Ciotat) où plusieurs dizaines de familles vivent de la pêche professionnelle.

Le Parc National sera au contraire un outil précieux pour les pêcheurs. Là encore, ne passons pas à côté de cette occasion unique.

Quelques efforts pour le bien de tous ...

Le Parc National n'interdira pas aux plaisanciers de profiter de leurs bateaux ! Au contraire : organiser les mouillage est une manière de rendre acceptable la présence d'embarcations qui peuvent avoir des effets nocifs sur certains sites : mise à mal de l'herbier de posidonie (arraché par les ancres), rejet d'eaux usées dans les criques fréquentées par les baigneurs, choc direct avec des nageurs ...

Seuls quelques sites très sensibles et peu nombreux seront organisés pour le bien de tous, y compris celui des plaisanciers.

Le système en vigueur depuis plusieurs années et mis en place dans les Calanques par le GIP est un bon compromis entre les différents usagers.

C'est ni plus ni moins ce genre de fonctionnement que le Parc National pourrait apporter à La Ciotat, sur les 3 seules zones de mouillages sensibles (calanque de Figuerolles, calanque du Mugel et des trois secs, et calanques de l'Ile Verte).

Il ne sera jamais question d'interdire purement et simplement les mouillages sur la totalité de la partie marine qui pourrait être incluse dans le futur Parc.

Voici la carte, calanque par calanque, pour le site de Marseille à Cassis :

On peut remarquer que sans les moyens du Parc National pour mettre en place, promouvoir, expliquer et surveiller ce genre de balisage, on risque de s'acheminer vers des interdictions d'accès beaucoup plus dures vis à vis des plaisanciers face à l'exaspération des baigneurs, usagers majoritaires des plages. Les moyens du Parc permettront au contraire des réalisation ambitieuses et inscrites dans la pérennité tout en restant évolutives.

Le Parc National sera une instance de concertation, de réflexion et d'action dont l'objectif sera de choisir puis de mettre en place des solutions acceptables par la totalité des différents catégories d'usagers du site.

Les baigneurs qui doivent faire face à n nombre croissant d'embarcations, à leurs rejets d'eaux usées, aux odeurs de carburant, au bruit des moteurs, seraient vite exaspérés par un fonctionnement du type "loi du plus fort" sur les zones sensibles et exigües des calanques. Ceci risque d'aboutir à un rejet global de la présence de plaisanciers sur ces sites.

On sait d'ailleurs que le nombre de bateaux de plaisance est en croissance continue et que le schéma des vocations litorales de la communauté urbaine MPM prévoir plusieurs milliers d'anneaux supplémentaires dans les 3 ans à venir. Ce sera autant d'embarcations supplémentaires sur les sites sensibles.

S'il n'existe pas de lieux de discussion, de réflexion ni de volonté d'apporter des solutions organisées, on va s'acheminer vers des conflits inévitables.

Trouver des compromis intelligents devient une urgence, le Parc National sera l'outil idéal pour y contribuer, y compris dans l'intérêt des plaisanciers qui auront eux aussi, au secteur ciotaden du futur Parc c'est à dire sur place, un interlocuteur responsable et à leur écoute pour transmettre leurs doléances.

Le schéma proposé par le GIP pour les calanques de Marseille à Cassis (ci-dessus) n'est-il pas un bon exemple de ce qu'il est possible de faire pour satisfaire les uns et les autres et préserver la cohabitation des différentes activités de loisirs ?

L'esprit de la loi de 2006

L'arrêté du 23 février 2007 fixe les principes fondamentaux propres à l'ensemble des Parcs Nationaux selon la nouvelle loi d'avril 2006.

C'est une bonne synthèse pour comprendre l'esprit de cette loi de 2006 qui, au-delà des exigences de préservation de la nature, fait la part belle à la concertation, aux usages locaux, aux habitants des sites et au culturel :

Téléchargez le texte ci-dessous :

Principes fondamentaux.pdf

Cette page sera créée dès que possible. Si vous avez des idées et des données pour la compléter, n'hésitez pas à nous le faire savoir :

[email protected]

Coeur de Parc dans les médias

Le Parc National des Calanques, les propositions des candidats aux municipales et la fête de LCCP le 2 Mars 2008

                            

                                          

                              

                                             

La Fête du Parc annoncée par La Provence

Article du 15 Février 2008

A Marseille comme à La Ciotat !

Article du 14 Février 2008

La Marseillaise informe ses lecteurs de la démarche faite par le collectif "La Ciotat Coeur de Parc", qui a adressé un courrier aux candidats aux élections municipales, leur demandant:

1/ de se positionner officiellement par rapport à l'intégration de la totalité du site classé terrestre et maritime ciotaden dans le futur coeur de parc,

2/ de préciser les grands axes de la politique de développement durable qu'ils souhaitent mettre en place à La Ciotat, en cohérence avec le Parc National.

LaCiotatinfos - Décembre 2007

 LaCiotatinfos relate l'acte de candidature de La Ciotat pour intégrer le GIP des Calanques. Une mise en page sympathique pour un article qui aurait mérité un peu plus de fond !

Article du 2 Décembre 2007

La Provence relate les débats (conseil municipal du 30/11/2007) concernant la Calanque de Port-Miou, son intégration ou non dans le Coeur de Parc et son avenir touristique.

Articles du 30 Novembre 2007

Le 29 Novembre 2007, La Ciotat adhère au GIP (Groupement d'Intérêt Public) des Calanques.

                                          La Provence et La Marseillaise relatent cet évènement.

                                                      

Article du 19 avril 2007

"La Marseillaise" du 19 avril 2007.pdf 

Article du 17 avril 2007

"La Marseillaise" du 17 avril 2007.pdf 

Reportage télévisé du 17 avril 2007 (France 3)

Article du 5 avril 2007 20Minutes.pdf 

"20 minutes" nous  fait franchir pour la seconde fois les limites des pages locales et réalise un mini enquête qui montre que notre travail et une mobilisation sans précédent à La Ciotat semblent commencer à donner des résultats : comme en mai 2006, nous obtenons par presse interposée la position de la mairie. Faut-il rappeler combien nous apprécierions que notre maire nous reconnaisse enfin comme des interlocuteurs (4000 signatures, 34 associations ne suffisent-elles pas ?) et nous annonce directement ce genre de nouvelles et les positions de son équipe concernant le parc. Nous ne comprenons vraiment pas ce refus de toute entrevue avec notre collectif... Grâce à la presse, nous apprenons donc quatre informations importantes, le cabinet du maire annonçant :

- être "tout à fait favorable" au projet (malheureusement, c'est ce qui est annoncé depuis deux ans ... mais sans réelle action allant dans ce sens et susceptible de nous rassurer un tant soit peu...)

- attendre "certaines réponses" (nous ne savons pas lesquelles et aimerions bien les connaitre)

- lancer une concertation avec les associations locales (voilà deux ans que nous réclamons officiellement une entrevue en mairie ... sans succès ! Nous sommes toujours demandeurs de toute réunion avec le maire ou ses représentants officiels sur le projet).

- pouvoir "boucler" le calendrier d'ici fin 2007 (là encore, nous souhaiterions connaître précisemment le calendrier éventuel de la mairie de La Ciotat et son contenu afin d'être rassurés : ce n'est pas du tout le cas pour le moment)

L'article : 20Minutes.pdf

Article du 22 mars 2007

"La Provence" publie une brève en guise de compte-rendu de notre rencontre publique des 16 et 17 mars 2007 et nous gratifie d'une belle photo couleur de la Calanque de Figuerolles vue depuis la mer par les 60 personnes embarquées sur le navire spécialement affrété par notre collectif.

Article du 18 mars 2007

"La Marseillaise" a publié le compte rendu de notre rencontre des 16 et 17 mars dès le lendemain. Le journaliste a bien noté l'affluence reccord à la conférence publique du 16 (petite erreur : Alain Matési préside son association nommée "CoLLecT-IF mais il est l'un des 30 membres et non pas le président du collectif "La Ciotat Coeur de Parc").

Article du 16 mars 2007

"La Provence" expose une partie de nos arguments pour entrer en coeur de parc.

Une fois de plus, le maire temporise et se demande ce que cela apportera à La Ciotat. Il déclare qu'il sera favorable au projet s'il s'avère "100% positif" (existe-t-il, ici ou ailleurs, un seul projet adopté uniquement s'il réunit de tels suffrages ? ), enfin, il explique que "Natura 2000" et la "loi littoral" protègent déjà le site.

Certes, mais à Marseille et Cassis aussi, cela n'empêche pas les maires de ces communes d'avoir compris l'intérêt du Parc National et d'avoir rejoint le GIP Calanques pour créer le Parc.

Rappelons-le une fois encore : l'intérêt du Parc, c'est avant tout d'apporter DEFINITIVEMENT des moyens réels, financiers et humains, pour justement permettre une préservation dynamique du site.

Pourquoi la mairie de La Ciotat s'obstine-t-elle à ne pas comprendre cela ? La question est posée depuis deux ans maintenant...

Notons que la loi littorale n'appporte AUCUNS moyens de gestion du site et remarquons que contrairement aux financements solides et prouvés des 7 Parcs Nationaux français, depuis 30 ans pour certains, les mesures préconisées par Natura 2000 ... restent à financer et surtout...à pérenniser et nous en sommes très loin !

Pour le Parc National, au contraire, on sait par définition (c'est le cas des 7 parcs existants depuis des décennies) que c'est l'Etat qui le dotera de moyens conséquents et ce définitivement (subvention d'Etat annuelle, on parle de 2,5 millions d'euros pour Marseille et Cassis ... sûrement davantage si La Ciotat rejoint le projet).

Rappel : l'été dernier, devant les représentants des parcs nationaux réunis, la ministre de l'écologie a engagé son ministère a maintenir ses dotations pour les parcs nouvellement crées.

Article du 14 mars 2007

"La Marseillaise" publie un article pour annoncer l'ouverture de notre "blog" sur la "toile" tout en rappelant les enjeux du projet.

Article du 1er mars 2007

"La Marseillaise" (pages département) a consacré un encadré spécial à notre collectif dans son article "Attendons parc désespérément". Les craintes (infondées) selon lesquelles notre projet pourrait retarder le futur Parc y sont rapportées mais notre collectif est en mesure de réfuter complètement cette thèse (lire la note "Pas de retard lié à La Ciotat") dans notre rubrique "actualités".

D'autre part, ce n'est en aucun cas "à long terme" mais immédiatement que nous souhaitons l'intégration de La Ciotat au projet. Agir vite, c'est rejoindre le projet sans encombres, temporiser, c'est reculer de 5 à 10 ans ...

Article du 27 février 2007 

"La Marseillaise" (édition Aubagne/La Ciotat) a interviewé des membres de notre collectif pour annoncer notre rencontre des 16 et 17 mars et elle donne son avis au sujet de la non-implication de la mairie de La Ciotat.

PHOTOS DE PHILIPPE RICHAUD sous-titrées par Frédéric Ganga